Samedi 6 octobre 2018 à la fin de l’émission de France inter “On n’arrête pas l’éco”, Philippe Martinez a dénoncé d’une part les prétendues négociations à la mode du Président Macron dans lesquelles celui-ci fixe à l’avance l’objectif (ici à 40:35), et d’autre part le fait que des contrats signés par certains syndicats, pas la CGT, par exemple en matière de formation professionnelle, ont au final été écartés dans la loi !
Et M. Martinez conclut : “On ne peut pas continuer comme cela.”
Mais alors, pourquoi Mme Alexandra Bensaid ne lui a-t-elle pas demandé (jusqu’à avoir une réponse) pourquoi la CGT n’a jamais demandé au Gouvernement l’instauration du référendum d’initiative citoyenne (RIC) en toutes matières ? (Pourtant souhaité par 83% des Français selon un sondage IFOP.Focus d’avril 2017.)
Indiscutablement, il inciterait le Gouvernement à une véritable concertation et en tous cas permettait à la CGT d’imposer un référendum visant à abroger toute loi estimée inappropriée ou injuste, ainsi que de soumettre directement au peuple les propositions alternatives de la CGT pour leur faire donner “force de loi”.
En Suisse qui dispose du RIC, un syndicat a obtenu en 1996 (avec 67% de OUI) l’abrogation d’une loi sur la flexibilité du travail jugée trop favorable aux patrons et en 2002 (avec 52,6% de OUI) le refus de la libre concurrence sur le marché de l’électricité.
En cette période de réforme, le CLIC espère que les médias vont enfin poser aux syndicats cette question du RIC qui permettrait des négociations équilibrées et donnerait la décision finale au peuple “dit” souverain. Et qu’ils demanderont à la Majorité si le “droit réel” d’exercer la souveraineté nationale par le RIC va être inscrit dans l’article 3 de la Constitution du “nouveau monde politique” annoncé…
pauvre enfoiré ce Martinez complétement pourri !!!!!!!!!!!!!!!!